C’est le magazine « Vanity Fair » qui dévoile une information hallucinante : sur les vingt huit agents secrets devant protéger le Président Américain, neuf avaient la gueule de bois. Toute la question se pose alors : s’ils avaient été dans leur état normal, auraient-ils pu empêcher l’assassinat de JFK ?
Des agents pointés du doigt
Après toutes les histoires et tous les mystères autour de l’assassinat de John-Fitzgerald Kennedy, le 22 novembre 1963, voilà que la question d’un possible sauvetage se pose. Oui, si les agents des services secrets n’avaient pas été alcoolisés de la veille, aurait-il pu être sauvé ?
Mais comment en sommes-nous arrivés à nous intéresser à leur cas ? La réponse est simple : de nombreuses personnes se sont interrogées justement sur le temps de réaction incroyablement long des agents en question. Le premier coup de feu retentit et touche JFK dans le dos, mais la blessure n’est pas mortelle. C’est le second coup de feu, tiré cinq secondes plus tard, qui l’atteindra à la tête, détruisant une partie de son cerveau.
Cinq secondes qui auraient pu être utilisées par ces agents ivres, pour pousser, déplacer, intervenir quoi, auprès du Président, et, peut-être, lui sauver la vie…
EN BONUS : l'assassinat de JFK en HD et stabilisé
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